Dans une chronique datée du 14 octobre, la journaliste du Point Sophie Coignard revient sur un acte de censure ayant eu lieu à l’encontre de statues de nus, extraites du projet In Memory of Me de Stéphane Simon et exposées au siège de l’Unesco dans le cadre des Journées du Patrimoine les 21 et 22 septembre 2019. Les sexes des statues, inspirées de la sculpture classique grecque ayant été dissimulés au regard par des sous-vêtements, sans que l’artiste en ait été informé… Le plasticien français Stéphane Simon mène depuis plus de 20 ans avec un travail plastique centré sur la représentation du corps et de la figure. Son projet In Memory of Me s’intéresse plus particulièrement à la question du selfie. Photo : © DR.
Quand l’Unesco joue les censeurs

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