Maximino Rodríguez, Cecilio Pineda Birto, Miroslava Breach Velducea et Ricardo Monlui Cabrera ont tous en commun d’être mexicains, journalistes, de travailler sur des affaires de corruption et/ou en lien avec le crime organisé et d’avoir été assassinés en mars dernier… Selon un récent rapport du Comité pour la protection des journalistes, le Mexique, qui occupe par ailleurs la 147e place au classement mondial de la liberté de la presse 2017 de Reporters sans frontières, est le seul pays au monde où chaque journaliste tué l’est en représailles directes de son travail. Lire à ce sujet l’article du Netizen Report sur Globalvoices.org. Visuel : Manifestation de journalistes à Mexico, en mars dernier, pour protester contre les violences perpétrées à l’encontre de membres de leur profession dans le pays depuis 2010. Photo de la Knight Foundation, publiée sur Flickr (CC BY-SA 2.0)
Quatre journalistes assassinés en mars au Mexique
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