L’art c’est mon Dada | Exposition collective

Dans le contexte du cinquantenaire de la mort du sculpteur Ossip Zadkine, se pose spontanément la question de son héritage, qu’il s’agisse de son travail ou de sa vie aux Arques. La naissance des Ateliers des Arques est pour sa part intimement liée à l’histoire du musée, et les résidences continuent de préserver au sein du village un lieu de création en prise avec un environnement unique. Avec le temps, il est devenu évident que l’un n’irait pas sans l’autre, les notions de transmission et de postérité de l’artiste dépassant ici le cadre de l’œuvre. C’est à partir de ce contexte singulier et des questions qu’il soulève que l’Artothèque du Lot a proposé de bâtir cette exposition en partenariat avec les Ateliers des Arques et Les Abattoirs – Frac Occitanie Toulouse. Elle réunit les œuvres (issues des collections publiques des Abattoirs et de l'Artothèque du Lot) de Valerio Adami, Albert Ayme, Pierre Buraglio, BazileBustamante, Patrice Carré, Guillaume Dégé, Anne Deguelle, Angela Detanico & Rafael Lain, Jan Dibbets, Richard Fauguet, Yohann Gozard, Damien Hustinx, Michel Journiac, Jean-Noël László, Julio Le Parc, Jean-Claude Loubières, Robert Mapplethorpe, Charlotte Moth, Stéphane Pencréac'h, Ernest Pignon-Ernest, Présence Panchounette, Mathieu Provansal, Guillaume Robert, Jean Sabrier, Denis Savary et Karine Veyres. Visuel : Affiche de l’exposition. La dégénérescence guette les avant-gardes, Présence Panchounette, 1983. Collection les Abattoirs – Frac Occitanie Toulouse. Photo Cédrick Eymenier. Graphisme Alexis Susani.