Les œuvres plastiques et visuelles présentées dans la salle principale de la Terrasse ont été réunies par l’artiste Emmanuel Rivière qui a imaginé une exposition ouverte à ses proches voisins artistes venus d’horizons lointains. La mondialisation met en relation des éléments culturels auparavant éloignés et hétérogènes, aboutissant à des œuvres hybrides et absolument imprévisibles. Ces faits ont été — entre autres — mis en évidence par le poète et essayiste Édouard Glissant, qui voit là le résultat de ce qu’il nomme "créolisation", soit "le métissage qui produit de l’imprévisible". Visuel : Détail de Mémoires des Amériques, Alex Burke, photographie Laurent Ardhuin, 2009.
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