Les monstres de Martial Verdier

Montrer, éditer, publier, diffuser est le credo de Corridor Eléphant qui, chaque année, sort une douzaine d’ouvrages et met en ligne plus de cent cinquante expositions. Une fois par mois, ArtsHebdoMédias vous invite à entrer dans un univers auquel notre partenaire a consacré une exposition. En décembre, nous vous proposons de découvrir Capitalocène de Martial Verdier. Pour en voir plus, il vous suffira de cliquer sur « La suite, c’est par ici » ! Bonne visite.

« Nous dansons sous le volcan, mais nous ne voyons pas les fumerolles. Nous ne regardons pas les monstres qui rodent, en voici quelques portraits. Une exploration des frontières de la photographie à travers une série de calotypes qui mettent en jeu le temps (long temps de pose, prise de vue multiples d’un même sujet…). La photo étant pour moi un ready-made, mes images sont assistées, elles ne sont pas un témoignage exact, mais une mise en scène graphique. »

Né en 1960 à Dieppe et diplômé en arts plastiques en 1987 (DNSEP, ENSA Cergy), Martial Verdier est actuellement directeur de la publication de la revue en ligne TK-21, dont il est également un des fondateurs, et professeur de photographie à l’ESAM Design, à Paris.

Greifswald (Lubmin), centrale nucléaire de l’ex-Allemagne de l’Est. ©Martial Verdier
Chinon, centrale nucléaire, aujourd’hui, Musée nucléaire. ©Martial Verdier
Centre de traitement du combustible usé, La Hague. ©Martial Verdier.

Image d’ouverture> Bugey, centrale nucléaire. Calotype assisté. ©Martial Verdier

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