Tarik Kiswanson | Ongoing reflection – You, me, so many

Tarik Kiswanson poursuit un travail sculptural et conceptuel autour du corps, de la matière et de la perception. La rencontre physique entre le spectateur et l’œuvre est au cœur de sa réflexion. L’artiste d’origine suédoise investit ici l’ancienne sacristie du Collège des Bernardins pour y engager un dialogue à la fois visuel et conceptuel avec l’architecture cistercienne. Comme un écho aux colonnes de la sacristie, ses sculptures métalliques effilées tombent depuis les clefs de voûtes, créant des structures parmi lesquelles les spectateurs pourront évoluer et découvrir le lieu sous un nouveau jour. Grâce aux multiples jeux de reflets et de points de vues induits par le métal poli - jusqu’à devenir miroir - les visiteurs deviennent eux-mêmes acteurs de l’œuvre. Visuel : Détail de l’exposition No Hard Feelings’, présentée en 2015 à la galerie Almine Rech à Paris, Tarik Kiswanson.