Le ciel commence ici se place dans la lignée de Solo mais aussi de La Suite d’Arles, réalisée en 2003 sur des toitures remarquables de la ville d’Arles. En effet, les prises de vue de cette nouvelle série ont lieu également sur des toits. Ils sont divers par leur architecture, leur histoire et les points de vue qu’ils offrent sur le paysage : pour l’instant Deauville, l’Observatoire de Paris, le Château de Saint-Germain-en-Laye, quelques toits autour de l’Opéra de Paris et le Château de Chambord ont été explorés par l’artiste. Cette position en hauteur, Corinne Mercadier en évoque la fascination, à la fois poétique, jubilatoire et enfantine. Et la “réponse” le ciel commence ici évoque un élément décisif dans la démarche de l’artiste : la recherche d’un point de vue topographique, certes, mais aussi existentiel. Visuel : Corinne Mercadier, La carte du ciel, Série Le ciel commence ici, 2015.
Chargement de la page