« Pour sa deuxième exposition personnelle à la Galerie Eric Mouchet, Capucine Vever propose de parcourir les failles de la représentation du paysage, afin d’y réintroduire des récits, des imaginaires ainsi que la multiplicité des vies qui interagissent entre elles et avec lui, sans éluder l’action de la Terre en réaction aux activités anthropiques. Non plus sonder le monde vidé de ses occupants, selon une logique de conquête ou d’espace blancs à coloniser, mais tenter de « repeupler les cartes » par les manifestations discrètes des présences humaines et non-humaines, vivantes et non-vivantes. » Extrait du texte Prismer le réel de Marion Zillio . Visuel> Capucine Vever, A la fin, on sera tout juste au début, 2020 Détail de l’installation de 9 disques suspendus en terre cuite, encre de chine, acier et lumière, 700 x 500 cm, 47 x0,5 cm chaque. ©Photo : Emile Ouroumov. Courtesy Capucine Vever ADAGP 2022 & Galerie Eric Mouchet
Chargement de la page