Autour de cinq sculptures tridimensionnelles à la frontière entre la peinture et le cinéma en relief, l'exposition d'Elisabeth Daynes nous plonge dans notre héritage commun : l'anatomie du visage humain. Ce travail en repoussant les limites techniques actuelles de la représentation picturale plonge ses fondations dans la tradition, facette que l'artiste nous présentera avec ses bronzes fondus et patinés ainsi qu'une sculpture hyperréaliste d’exception. Aujourd’hui, l’artiste mène une réflexion sur l’identité, la signification du crâne et du visage depuis les origines de l'humanité. En utilisant une grande variété de format, de matière et de traitements, en reprenant et détournant les motifs du crâne, elle montre tous les visages que nous aurions pu avoir, et que nous aurons un jour. Le crâne est au début et à la fin de toutes choses : il est la charpente, le socle identitaire de chaque individu. Visuel : Pièce signée Elisabeth Daynes, photo Delphine Crépin.
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